EPIPACTIS muelleri
Hormis certaines stations très ponctuelles dans la vallée de La Vienne, l’Epipactis muelleri s’avère très rare en Région Poitou-Charentes.
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Epipactis muelleri
GODFERY 1921
Epipactis de Mueller |
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Très proche de l’Helleborine, l’Epipactis muelleri s’en distingue à première vue par son port plus grêle et ses feuilles plus étroites, lancéolées et acuminées avec des bords ondulés.
La hampe florale pubescente porte quelques fleurs de teinte jaune-verdâtre, blanchâtres à l’intérieur, généralement plus petites que celles de l’Helleborine.
L’intérieur de l’hypochile cupulaire et nectarifère est rouge luisant ; l’épichile est court et étalé.
De floraison plus précoce que l’Epipactis helleborine il peut être rencontré dans les bois clairs plutôt thermophiles
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Le pédicelle et l’ovaire pyriforme sont vert-jaunâtre et peu pubescents. Malgré un hypochile nectarifère caractéristique des Epipactis allogames, l’absence de rostellum favorise l’autogamie de la plante.
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