Il s’agit de matériaux récents déposés dans la lit majeur des rivières, et pris dans le secteur cristallin en amont. Le tri minéralogique au profit des matériaux siliceux plus résistants mécaniquement et chimiquement aboutit à des dépôts acides.
Dépôts limono-argileux à sableux généralement enrichis en galets de quartz et de calcaire.
sol peu hydromorphe.
Il résulte de l’altération de la roche du même nom : calcaire crayeux du jurassique supérieur, riche en micas et en grains de quartz.
Sables argileux à limoneux, à tendance acide, sujets au compactage et à la stagnation de l’eau en hiver.
Sol gris clair, arglo-limoneux, sur craie et donc calcaire.
Sols argilo-limoneux typiques des plaines calcaires, généralement caillouteux, de cailloux calcaires.
Sols argilo-limoneux des buttes marneuses.
Sables argilo-limoneux pulvérulents,ocres, sur dolomies.
Sols des plateaux limoneux à sablo-limoneux plus ou moins hydromorphes.
Sols imperméables, fotement hydromorhes et asphyxiants.
Terres noires sur argiles compactes. Excès d’eau en hiver. Sols pauvres, fortement acides.
Ce sont les terres rouges des plateaux de bordure. Le caractère très compact et imperméable de ces argiles favorise la stagnation de l’eau en hiver et entraîne l’asphyxie.
Terres rouges à Châtaigniers |
Les argiles rouges, couleur acajou, comme les argiles à silex sont peu perméables et compactes.La décalcification généralement poussée entraîne une tendance vers l’acidification,
d’où la présence du Châtaignier acidiphile.
L’altération du granite par hydrolyse mène à des arènes acides. Une végétation acidiphile s’installe sur ces sols pauvres et très perméables à faible capacité de rétention de l’eau.
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